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L’ENVIRONNEMENT DANS LA GESTION DES ENTREPRISES

Rapport final du Congrès franco-allemand IAI 2002

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LES THEMES DU CONGRES

Pendant ce congrès, la « pratique du Développement durable dans les entreprises » a été examinée suivant différents points de vue regroupés en 4 thèmes majeurs :

Au plan mondial le Développement durable pose l’exigence d’un accès pour tous, même les plus démunis, aux
services fondamentaux de l’énergie et de l’eau. La dimension politique du problème est évidente, mais que peuvent
faire les entreprises pour leur part, sachant que l’énergie pose aussi le problème du risque de changement
climatique ?

Le Développement durable demandera de nouveaux produits et de nouveaux services, de nouvelles manières de
produire et de construire. Quelles sont les réponses des entreprises ?

Pour enclencher et conduire une stratégie du Développement durable, les entreprises vont devoir adapter leurs modes
de gestion. Certaines s’y sont déjà engagées et pourront témoigner de leurs actions dans ce sens.

Le Développement durable c’est aussi une approche différente de la responsabilité sociale des entreprises et de leur
dialogue avec l’ensemble des parties intéressées. Des exemples d’actions dans ce domaine seront présentés et
discutés.

L’ORGANISATION DES DEBATS

Le congrès s’est articulé autour de séances plénières sur les quatre thèmes évoqués plus haut au cours desquelles des chefs d’entreprises de grands groupes industriels français et allemands sont venus expliquer leur engagement dans le Développement durable ; des représentants de la société civile ont également participé à ces tables rondes pour y faire valoir leurs points de vue.

Au cours des ateliers également proposés aux congressistes, de nombreux exemples concrets de « Pratique du Développement durable » ont été présentés.

SOIREE CONGRESSISTES

Le 4 juillet, après une journée de travail, les congressistes se sont retrouvés au Château de Versailles pour une soirée de prestige et d’éblouissement dans un lieu chargé d’histoire et unique au monde.

Le rendez-vous était donné sur la terrasse du Château, face au parc.

Un cocktail dînatoire a été servi dans la Galerie Basse. Précédée d’un vestibule ornée de colonnes et de pilastres en marbre, la Galerie Basse est située sous la Galerie des Glaces entre la cour de Marbre et les jardins.

Dans une ambiance sympathique et décontractée, chacun a pu profiter de la Grande Terrasse du Château qui domine le Parc et les Bassins. La Terrasse Centrale et le Parterre d’Eau avec ses deux grandes pièces d’eau enrichies de bronzes du XVIIe siècle dominent la grande perspective que Le Nôtre a ouverte sur l’infini, depuis la façade de la Galerie des Glaces jusqu’à l’extrémité du Grand Canal. S’étendant sur 3 200 mètres, elle offre un aperçu sur deux importants bassins liés à la symbolique solaire chère à Louis XIV ; le Bassin de Latone et le Bassin d’Apollon.

Moment fort de la soirée, les congressistes ont pu admirer les Grandes Eaux Musicales. Aux accents d’une musique baroque d’époque et en s’avançant sur la terrasse, ils ont vu l’eau jaillir de toutes les fontaines et animer les parterres. Une fois la nuit tombée, un deuxième spectacle a été donné où le jeu des lumières se mêlait à celui de l’eau et de la musique. Un moment rare pour ne pas dire exceptionnel qui a été unanimement apprécié.

Guide des organismes d’analyse sociétale – 2001

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Qui sont les organismes qui évaluent votre performance sociale, environnementale et éthique ?

Quelles méthodes et quels critères utilisent-ils pour construire les fonds et indices « éthiques » ?

Ces dernières années, de multiples fonds et indices boursiers éthiques, socialement responsables ou de Développement durable ont vu le jour, et, aujourd’hui ce sont plus de 1500 milliards d’euros qui sont placés selon des critères éthiques dans le monde.

Cette évolution, qui intéresse déjà le législateur, promet de bouleverser le paysage de l’analyse financière traditionnelle. En effet, les entreprises soucieuses d’intégrer ces fonds, doivent s’organiser face à l’afflux de questionnaires d’évaluation en provenance d’organismes aussi divers que méconnus.

Tout comme les entreprises, les gestionnaires de fonds et autres investisseurs s’interrogent sur la qualité et les moyens d’analyse de ces agences de rating, instituts de recherche et autres conseillers en investissement éthique :

Qui sont les organismes qui évaluent les entreprises selon leur
« performance sociétale »?
Quelles sont leurs méthodes ?
Sur quels critères sont créés les fonds et indices « socialement
responsables » ?

Ce Guide des organismes d’analyse sociétale, publié par l’ORSE, EpE et l’ADEME apporte des réponses précises à ces questions et dresse un panorama des organismes d’analyse représentatifs de ce mouvement.

Rapport final du Congrès franco-allemand IAI 1998

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ECONSENSE et ENTREPRISES pour l’ENVIRONNEMENT sont des associations d’entreprises qui cherchent à définir ensemble et à promouvoir les moyens les plus efficaces pour parvenir à un Développement durable répondant aux besoins actuels sans compromettre la satisfaction des besoins des générations futures.

Le congrès IAI 98 « Industrie et Approche Intégrée de l’Environnement », le premier congrès européen sur le Développement durable dans l’industrie, s’est tenu les 26 et 27 mai 1998 au Palais des congrès de Strasbourg.

Le 26 mai l’adjoint au Maire de Strasbourg ainsi que les deux ministres de l’environnement allemande, Madame Angela MERKEL et française, Madame Dominique VOYNET, ont participé à la session d’ouverture. Elles ont aussi participé à la table ronde qui a suivi avec MM. Francis MER, Président d’Entreprises pour l’Environnement, RAY, Président des Amis de la Terre, Rainer GROHE, Président de la Commission Politique Environnementale de l’Association fédérale de l’industrie allemande et Otto RENTZ, Directeur de l’Institut franco-allemand de Recherche sur l’Environnement à l’Université de Karlsruhe.

Vade-mecum sur le management environnemental – 1997

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Son but est de permettre aux responsables d’entreprises ou d’établissements d’appréhender en un temps très limité les enjeux et les modalités de la mise en place d’un système de management de l’environnement et d’évaluer l’intérêt éventuel d’une certification par une tierce partie.

L’entreprise ne peut plus se développer, ou même se maintenir, sans prendre en compte l’impératif de protection de l’environnement. Dans ce nouveau domaine, il s’agit aussi de gérer le plus efficacement possible.

Ce vade-mecum est destiné à sensibiliser le chef d’entreprise sur l’intérêt du management environnemental et à expliquer simplement les critères des dispositifs de reconnaissance de ce management que constitue la certification ISO 14001 ou l’adhésion à l’Eco-Audit.