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PUBLICATIONS & RAPPORTS

Améliorer la qualité de l’air intérieur – octobre 2023

La qualité de l'air intérieur

Publication disponible le 10 octobre 2023

 

Devenue un enjeu de santé publique depuis une vingtaine d’années, la question de la qualité de l’air intérieur (QAI) est une préoccupation croissante parmi la population, les sphères scientifiques, les pouvoirs publics et les entreprises, notamment depuis l’épidémie de la Covid-19. En France, le coût socio-économique de la pollution de l’air intérieur dépasserait les 19 milliards d’euros par an. De plus, la gestion de la QAI interfère avec d’autres enjeux, dont la performance énergétique et l’empreinte environnementale de nos bâtiments et transports.

La question du changement climatique a aussi fait irruption dans la perception du sujet. La réduction des émissions demande une meilleure isolation des bâtiments et pose ainsi des questions nouvelles en matière d’aération. Les entreprises sont confrontées à ces questions à la fois comme productrices et utilisatrices de substances variées dans leurs activités, et comme hôtes de leurs collaborateurs ou clients dans les locaux ou les véhicules. Quelle priorité accordent-elles à ce sujet par rapport aux autres sujets d’environnement, à l’heure des choix d’investissement ?

Au sein de la commission Santé-Environnement d’EpE, près de quarante grandes entreprises ont échangé ces dernières années, entre elles ainsi qu’avec leurs parties prenantes, pour comprendre et répondre aux enjeux sanitaires, environnementaux et économiques liés à la qualité de l’air intérieur. Cette publication fait un point d’étape sur les connaissances acquises et les travaux menés au sein de cette commission et par les entreprises pour identifier de bonnes pratiques et accélérer les actions d’amélioration de la qualité de l’air intérieur.

Comment mesurer et piloter l’impact de la publicité sur l’empreinte environnementale des consommateurs ?

Mesure Impact Publicité - juin 2023

 

L’attente sociétale est forte à l’égard de la publicité pour accompagner la transition vers une société plus durable et plus sobre : comment évaluer l’effet des campagnes sur la transition écologique des consommateurs selon qu’elles promeuvent des produits ou services plus ou moins durables ? Combien et quels types de produits à moindre impact environnemental ont les faveurs des annonceurs et des agences ?

Cette publication a pour objectif de présenter deux méthodes innovantes en vue d’évaluer l’effet d’une campagne publicitaire ou d’un portefeuille de campagnes :

  • l’expérimentation réalisée par Entreprises pour l’Environnement de l’application de l’indice NEC (Net Environmental Contribution) à la publicité ;
  • le Havas Impact Score développé par Havas, fondé sur l’indice PIC (Pertinence, Intensité, Comportement), qui permet de mesurer l’impact des représentations projetées par une campagne (avant son lancement ou a posteriori).

Pour tester le premier outil, trois pilotes ont été conduits avec des membres d’EpE : Renault Group, BNP Paribas et le secteur automobile, en collaboration avec Havas. L’objectif de ces cas d’usage a été de comparer le score NEC des ventes réalisées sur l’année par rapport au score NEC des produits promus par les publicités. Cette comparaison a pour but de mesurer si et comment la publicité contribue à la transition des modes de consommation en promouvant un mix de produits plus durables que les ventes. Ces pilotes ont permis de conclure que la NEC peut être un indicateur « quantitatif » utile pour juger de la contribution de la publicité à une consommation plus durable.

À l’heure de la sobriété, il est urgent de faire évoluer les consommateurs. Mesurer et piloter l’effet environnemental de la publicité sur la consommation est l’un des leviers pour réussir la transition écologique. Cette étude montre que cette évolution peut être mesurée et objectivée. Elle ouvre ainsi le champ des possibles et donne des outils aux annonceurs et régies pour s’impliquer et faire bouger les lignes !

Actes du Colloque Dialogue Entreprise – Finance : solutions et actions pour la nature

couv Actes DEFi 2022

ACTES DU COLLOQUE DEFi – 27 JUIN 2022

Dialogue Entreprise – Finance
Solutions et actions pour la nature


Dans la perspective de la COP15 et dans le contexte de publication des premiers livrables de la Taskforce on Nature-related Financial Disclosures (TNFD), les associations Finance for Tomorrow et Entreprises pour l’Environnement ont organisé en 2022 le colloque DEFi « Dialogue Entreprise – Finance sur les solutions et actions pour la nature » pour ouvrir et lancer une dynamique d’échanges entre institutions financières, entreprises et parties prenantes sur leurs actions en faveur de la biodiversité.

Les objectifs de cette journée étaient multiples :

  • présenter les dernières avancées et réglementations permettant la meilleure prise en compte de la biodiversité dans les décisions de financement et d’investissement ;
  • clarifier les demandes des acteurs financiers aux entreprises sur leurs risques, impacts sur la biodiversité et dépendances aux services écosystémiques ;
  • présenter les propositions des entreprises aux acteurs financiers sur ces mêmes sujets ;
  • débattre des conditions et du format selon lequel les entreprises peuvent représenter au mieux leurs risques, impacts et dépendances susmentionnés dans les informations qu’elles communiquent au secteur financier, et dialoguer sur l’usage fait de ces informations par les acteurs de ce secteur ;
  • renforcer la dynamique et les engagements des acteurs économiques.

Le colloque a rassemblé plus de 200 experts – dont plus de 65 intervenants et animateurs – issus d’entreprises industrielles, du secteur financier, du conseil et des services, des pouvoirs publics, de grandes écoles, d’ONG et d’institutions scientifiques.

Ces échanges et de débats de fond ont permis d’étudier plusieurs thématiques complexes, de renforcer les engagements, et ont rappelé le besoin de multiplier les collaborations et les actions en faveur de la biodiversité et du climat sans attendre la mise en place d’indicateurs, d’outils et de méthodes consensuels.

 

Le numérique, allié ou ennemi de la transition écologique ?

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68 pages – Disponible en anglais

En quelques années, la transformation numérique a profondément bouleversé nos modes de vie et le fonctionnement de nos sociétés. Résultant de rythmes d’innovation rapides, ces technologies redéfinissent continuellement nos notions de temps et d’espace et modifient profondément nos façons d’accéder à la connaissance, à l’information et à la consom­mation ; elles transforment nos modes de vie et conditionnent le fonctionnement de nos sociétés dont celui des acteurs économiques.

Bien qu’elles présentent d’importantes opportunités pour les entreprises et que, utilisées à bon escient, elles peuvent contribuer à la préservation de l’environnement et au bien-être des populations, les technologies numériques sont surtout à l’origine de répercussions considérables sur l’environnement. La tendance à l’augmentation du nombre d’utilisateurs, du nombre d’équipements, et à l’intensification des usages du numérique va conduire à une forte augmentation de ses impacts sur l’environnement si rien n’est fait pour les limiter : l’empreinte carbone du numérique français pourrait ainsi augmenter de 60 % d’ici à 2040. Au-delà, des tensions d’approvisionnement en minerais et métaux menacent déjà le développement du secteur.

L’enjeu nouveau pour les entreprises est donc de poursuivre leur transformation numérique tout en réduisant cette empreinte environnementale. Depuis 2020, près de quarante grandes entreprises membres d’EpE dialoguent entre elles et avec leurs parties prenantes autour des liens entre numérique et environnement au sein d’une commission présidée par Gilles Vermot-Desroches, Directeur de la Citoyenneté de Schneider Electric. Des dirigeants et experts rattachés aux Directions du Développement Durable et des Systèmes d’Information y ont partagé les bonnes pratiques de leurs entreprises et ont analysé les conditions pour réduire l’empreinte environnementale du numérique (volet « Green IT ») et en tirer parti pour accélérer leur transition écologique et celle de la société (volet « IT for Green »).

Cette publication présente une synthèse de ces travaux et analyse des cas réels de stratégies et des pratiques de réduction de l’impact du numérique, de mesure de son empreinte environnementale et de ses usages par les entreprises pour accélérer la transition écologique.

Entreprises et neutralité carbone : une transformation collective – Mai 2022

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88 pages – Disponible en anglais

 

Fin 2015, l’Accord de Paris entérinait l’objectif de « parvenir à un équilibre entre les émissions anthropiques par les sources et les absorptions anthropiques par les puits de gaz à effet de serre au cours de la deuxième moitié du siècle, sur la base de l’équité, et dans le contexte du développement durable et de la lutte contre la pauvreté ».

Depuis lors, la neutralité carbone s’est imposée comme l’objectif majeur à atteindre pour maîtriser les changements climatiques en cours et préserver les sociétés humaines de ses effets, et a été repris par de nombreux pays, organisations et entreprises. Pour ces dernières, la transition vers la neutralité carbone implique des questionnements et des transformations majeures.

Au cours des dernières années, les membres d’EpE réunis au sein de la Commission Changement climatique ont travaillé dans leurs entreprises pour bâtir leurs stratégies individuelles de décarbonation. Cette publication formalise ainsi les interrogations soulevées, vise à donner des pistes de solutions, souvent évolutives, et des retours d’expériences de mise en place de stratégie climat par les entreprises : comment agir à son échelle ? Seul ou avec qui et comment ? À quelles difficultés s’attendre et comment les surmonter ?

Cet ouvrage s’adresse aux entreprises qui souhaitent lancer ou accélérer leur démarche vers la neutralité carbone ainsi qu’à leurs parties prenantes de toutes sortes, elles-mêmes concernées, et voulant agir sur les aspects et difficultés systémiques de cette transition.

Indicateurs de transition circulaire V2.0 – février 2022

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74 pages - Disponible en anglais

Alors que l’économie circulaire prend de l’ampleur, il est impératif que les entreprises préparent leur transition en se basant sur l’observation de leur performance circulaire et des risques et opportunités qui y sont associés. Pour ce faire, les entreprises ont besoin d’un outil universel et cohérent pour évaluer leur circularité.

Selon le Circularity Gap Report, l’économie mondiale n’est circulaire qu’à 8,6 % aujourd’hui. Les Indicateurs de Transition Circulaire (CTI), élaborés par 30 entreprises membres du WBCSD en collaboration avec le cabinet KPMG, aident à répondre à des questions telles que :

  • Quel est le degré de circularité de mon entreprise ?
  • Comment fixer ses objectifs en matière d’économie circulaire ?
  • Comment mesurer les progrès résultant de mes activités circulaires ?

La publication « Les indicateurs de l’économie circulaire pour les entreprises » d’EpE et de l’INEC (octobre 2018) soulignait le manque d’indicateurs « clés en main » pour mesurer l’économie circulaire à l’échelle des entreprises. Cette deuxième version de la méthodologie « Indicateurs de Transition Circulaire » fournit des éléments de réponse en apportant un cadre commun de travail et un support de compréhension partagée qui se veulent exhaustifs, flexibles et applicables à tous les secteurs, en décrivant notamment des indicateurs de circularité des revenus d’une entreprise, de son utilisation d’eau ou de matériaux critiques.

Représentations des modes de vie et transition écologique

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32 pages – novembre 2021

Disponible en anglais

L’étude ZEN 2050 réalisée par les entreprises membres d’EpE a mis en évidence que la France pouvait atteindre la neutralité carbone dès 2050 à condition que tous les acteurs, entreprises, pouvoirs publics et citoyens-consommateurs, se mobilisent massivement pour une transformation sans précédent de nos modes de vie et de consommation. L’ambition simultanée de préserver la biodiversité renforce encore ce besoin de transformation.

Chaque personne poursuit ou adopte un mode de vie qui lui est propre, influencée par le contexte dans lequel elle évolue. Les communications commerciales véhiculent des représentations, par et au-delà de la promotion de biens et de services. Les entreprises et en particulier les annonceurs et toute la filière de la publicité ont donc un rôle clé à jouer dans ce qui pourrait être une révolution de l’imaginaire. Plusieurs membres d’EpE se sont déjà engagés dans cette voie et leurs pratiques nourrissent ce guide.

Agir sur ces représentations est une des voies pour réussir la transformation écologique de notre société et de notre économie. L’énergie et le talent créatif de l’ensemble de la filière (marques, agences et médias), mis au service de la représentation et de la promotion d’une nouvelle société de consommation respectueuse de l’environnement et de nouvelles normes éthiques, peuvent donc jouer un rôle moteur dans la transition de nos modes de vie, à travers trois démarches :

  • identifier les effets positifs et négatifs sur l’environnement des modes de vie projetés par les communications commerciales ;
  • promouvoir et rendre désirables des modes de vie favorables à la transition écologique ;
  • éviter de généraliser des représentations de modes de vie qui ne sont pas favorables à la transition écologique.

Le guide est organisé selon les principes suivants :

  • mettre en lumière 10 stéréotypes parfois présents dans la publicité, ancrés dans notre inconscient, tantôt bénéfiques, tantôt dommageables pour la planète, pour contribuer à l’évolution de nos habitudes et faire émerger de nouveaux modes de vie ;
  • ces représentations correspondent à des thèmes courants afin de pouvoir s’appuyer sur des référentiels existants : se nourrir, se déplacer, se loger, voyager et se divertir, représentation du bonheur et d’une vie réussie, rapport au temps et rapport à la nature. Ces thèmes renvoient aux secteurs majeurs d’impacts environnementaux (gaz à effet de serre et biodiversité) ;
  • le guide fait des propositions pour rendre désirables les comportements et modes de vie écoresponsables, et les illustre par des bonnes pratiques.

Les partenariats, socle de l’économie circulaire

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64 pages – juin 2021

Disponible en anglais

L’économie circulaire apporte une alternative souhaitable au modèle économique dominant, à l’origine de perturbations majeures de l’environnement, et fondé sur l’utilisation linéaire de ressources naturelles, de leur extraction ou leur récolte à leur rejet sous forme de déchets.

Le développement de l’économie circulaire reste aujourd’hui limité par la dispersion des gisements de matières secondaires, leur quantité et leur qualité variable, le manque de technologies, d’accès à l’information, d’un cadre réglementaire et fiscal incitatif et par la persistance de barrières psychologiques. L’économie circulaire est aussi porteuse de risques spécifiques limitant les investissements.

L’analyse de vingt-sept démarches d’économie circulaire, initiées par des entreprises et recueillies au cours de trois ans d’échanges au sein de la commission « Ressources naturelles » d’EpE, a permis de mieux comprendre les conditions de succès et de massification de ces initiatives.

Les partenariats s’imposent comme un levier permettant de dépasser les contraintes et comme une solution pour tirer meilleur parti des ressources locales, sécuriser les approvisionnements et les débouchés, structurer les filières d’économie circulaire, expérimenter, et faire naître de nouvelles chaînes de valeur.

L’étude de la diversité des modes de gouvernance au sein des partenariats observés, conduite en collaboration avec la Chaire Économie circulaire ESCP-Deloitte, révèle trois grands types de gouvernance, centralisée, distribuée ou sous forme de plateforme numérique.

Enfin, la publication souligne le rôle des pouvoirs publics dans le développement de ces initiatives et rappelle la complexité de la mesure d’empreinte environnementale de ces projets.

 

La mer, nouvelle frontière pour l’environnement et l’économie

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68 pages - Disponible en anglais

Alors que l’importance de l’océan pour notre société n’a jamais été aussi tangible et son exploitation économique aussi forte, sa préservation s’avère menacée : l’océan se dégrade rapidement sous l’effet du changement climatique, des pollutions, de la surexploitation de ses ressources et de ses services, et de la perte de biodiversité.

Conscientes de ces évolutions, les entreprises membres d’EpE ont mis en commun depuis 2018, dans le cadre de la commission Océan, les connaissances nouvelles et leurs expériences sur ces enjeux.

Cette publication montre la façon dont les entreprises se saisissent de ces enjeux environnementaux, économiques et scientifiques, en les illustrant par leurs bonnes pratiques :

  • le premier chapitre traite de l’expansion rapide des activités économiques liées à l’océan et des risques que cette « Blue Acceleration » fait peser sur les services économiques et écosystémiques rendus ;
  • le deuxième chapitre aborde le rôle essentiel de la connaissance scientifique et technologique pour la protection des océans ;
  • afin de réduire les impacts des activités existantes sur les milieux marins, le troisième chapitre se concentre sur le développement de solutions connues ou innovantes par les entreprises ;
  • le chapitre final porte sur les mécanismes permettant à ces dernières de faciliter la cohabitation des usages en milieu marin.

Ce travail de réflexion, qui a bénéficié des apports complémentaires d’entreprises, de scientifiques, pouvoirs publics, ONG et acteurs financiers, poursuit trois objectifs :

1. Accroître la prise de conscience au sein du monde économique et de ses parties prenantes des menaces sur la stabilité des océans et des solutions pour les limiter.

2. Contribuer au dialogue entre les entreprises maritimes et non maritimes ainsi qu’avec leurs parties prenantes sur leurs solutions et propositions.

3. Montrer l’existence de solutions technologiques et organisationnelles dont l’adoption large peut contribuer à restaurer un océan sain et productif.

  • Revoir la table ronde « L’océan, l’affaire de tous » du 27 mai 2021, dans le cadre du ChangeNOW Summit, avec Xavier Ducept, directeur du cabinet de la ministre de la Mer ; Françoise Gaill, océanographe, CNRS ; Frédéric Oudéa, directeur général de Société Générale ; Pierre-Yves Pouliquen, directeur du développement durable de Suez ; Sabine Roux de Bézieux, présidente de la Fondation de la Mer ; Romain Troublé, directeur général de la Fondation Tara Océan.

La ruée vers l’or vert : quelle gouvernance de la biomasse ?

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Nourrir l’humanité, remplacer les énergies fossiles, stocker du carbone, abriter la biodiversité : les terres, les forêts et les champs, fragilisés par le changement climatique, sont déjà très sollicités. Or les voies de décarbonation de l’économie passent bien souvent par un recours accru aux sols et à la biomasse, suscitant la perplexité des entreprises : comment répondre à ces nouveaux besoins ? De premières tensions apparaissent à propos de la PAC, l’exploitation des forêts européennes s’intensifie…

En partenariat avec l’ADEME, Bpifrance, la Caisse des Dépôts, CVT AllEnvi et l’IDDRI, les entreprises membres d’EpE ont souhaité ouvrir dès à présent le débat sur la nécessaire gouvernance de l’usage des terres et de la biomasse.

Ces partenaires ont apporté leurs visions contrastées des enjeux et des dispositifs de gouvernance déjà existants, montré des voies de progrès, ouvert des pistes et posé de nouvelles questions.

Une série de webinaires (accessibles en replay ici) a rassemblé fin 2020 de nombreux participants, abordé de multiples questions, suscité des controverses. La publication des Actes, rédigés par Frédéric Denhez, a pour vocation de garder trace et prolonger des débats qui resteront ouverts encore de nombreuses années.