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PUBLICATIONS & RAPPORTS

En entreprise, comment s’engager dans un parcours d’adaptation au changement climatique ?

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En entreprise, comment s’engager dans un parcours d’adaptation au changement climatique ?

Sélection de 30 témoignages d’entreprises françaises qui se sont lancées

 

Ce guide vise à aider les entreprises à se saisir de la question de l’adaptation au changement climatique, une démarche essentielle pour garantir la pérennité et la continuité de leurs activités. Il montre, à travers le témoignage de 30 entreprises françaises, qu’il est possible et nécessaire de s’engager dans une démarche d’adaptation quelle que soit sa taille ou son secteur d’activité.

Structuré selon la logique d’un parcours d’adaptation, le guide présente des exemples d’actions d’adaptation, de diagnostic, d’élaboration de stratégie et de processus de suivi et évaluation, ancrés dans l’expérience concrète des entreprises témoins. Il fournit également des éléments théoriques et méthodologiques aidant à mieux comprendre les enjeux et à identifier les bonnes pratiques et les outils à mobiliser tout au long du parcours.

Étape 2030 de la Transition Écologique – décembre 2023

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 Disponible en version anglaise

Pour la première fois, les grandes entreprises françaises partagent un ensemble de convictions communes sur la transition écologique et proposent publiquement un cap collectif et des priorités pour agir.

« Étape 2030 de la Transition Écologique » (ETE 2030), réalisée par Entreprises pour l’Environnement avec le soutien d’un consortium d’experts, offre une vision globale des actions qu’il faut avoir menées d’ici 2030 pour mettre notre pays sur une trajectoire crédible de transition écologique, en cohérence avec les engagements français et européens pour le climat et la biodiversité, et avec la planification écologique menée par le gouvernement.

Certaines de ces entreprises ont d’ores et déjà pris des engagements concrets et cohérents avec ces priorités. Ces engagements les mobilisent avec leurs parties prenantes dans diverses initiatives, présentées le 12 décembre 2023.

Présentation de l’étude

Replay du lancement - 12 décembre 2023

Biodiversité : valoriser pour agir – octobre 2023

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116 pages - Version anglaise

La perte de biodiversité monte à l’agenda et les acteurs financiers s’en emparent. Le Cadre Mondial pour la Biodiversité adopté en 2022 par 196 États estimait à 700 milliards USD les investissements annuels requis pour atteindre les objectifs mondiaux de préservation et de restauration de la biodiversité.

Au sein de la Commission Biodiversité présidée par Géraldine Vallejo de Kering, les entreprises membres d’EpE ont travaillé de 2020 à 2023 à repérer les pratiques permettant d’organiser la participation du secteur privé à ces investissements et de généraliser les solutions déjà connues.

Fondée sur une soixantaine de témoignages d’entreprises, d’acteurs financiers, d’ONG et d’acteurs académiques, cette nouvelle publication d’EpE révèle la diversité des approches pour suivre et mesurer la biodiversité, concevoir des modèles économiques permettant de réduire les pressions sur la biodiversité, voire de l’enrichir, et pour construire des trajectoires de progrès.

Améliorer la qualité de l’air intérieur – octobre 2023

La qualité de l'air intérieur

 

Replay de la table ronde organisée à l’occasion du lancement de la publication, avec Sabine Fauquez, Directrice Innovation Adjointe, Veolia ; Armelle Langlois, Directrice du Pôle Performance Durable, VINCI ; Corinne Lepage, Avocate, ancienne ministre de l’Environnement, Huglo Lepage Avocats ; Marie Marchand-Pilard, Responsable Santé, Juridique et Recherche-Innovation, EpE ; Emmanuel Normant, Directeur du Développement Durable, Saint-Gobain ; Fabien Squinazi, Médecin biologiste, membre du HCSP, de l’OQAI et du collège SEIQA ; Claire Tuitenuit, Déléguée générale, EpE.

 

Devenue un enjeu de santé publique depuis une vingtaine d’années, la question de la qualité de l’air intérieur (QAI) est une préoccupation croissante parmi la population, les sphères scientifiques, les pouvoirs publics et les entreprises, notamment depuis l’épidémie de la Covid-19. En France, le coût socio-économique de la pollution de l’air intérieur dépasserait les 19 milliards d’euros par an. De plus, la gestion de la QAI interfère avec d’autres enjeux, dont la performance énergétique et l’empreinte environnementale de nos bâtiments et transports.

La question du changement climatique a aussi fait irruption dans la perception du sujet. La réduction des émissions demande une meilleure isolation des bâtiments et pose ainsi des questions nouvelles en matière d’aération. Les entreprises sont confrontées à ces questions à la fois comme productrices et utilisatrices de substances variées dans leurs activités, et comme hôtes de leurs collaborateurs ou clients dans les locaux ou les véhicules.

Au sein de la commission Santé-Environnement d’EpE, près de quarante grandes entreprises ont échangé ces dernières années, entre elles ainsi qu’avec leurs parties prenantes, pour comprendre et répondre aux enjeux sanitaires, environnementaux et économiques liés à la qualité de l’air intérieur. Cette publication fait un point d’étape sur les connaissances acquises et les travaux menés au sein de cette commission et par les entreprises pour identifier de bonnes pratiques et accélérer les actions d’amélioration de la qualité de l’air intérieur.

Comment mesurer et piloter l’impact de la publicité sur l’empreinte environnementale des consommateurs ?

Mesure Impact Publicité - juin 2023

 

L’attente sociétale est forte à l’égard de la publicité pour accompagner la transition vers une société plus durable et plus sobre : comment évaluer l’effet des campagnes sur la transition écologique des consommateurs selon qu’elles promeuvent des produits ou services plus ou moins durables ? Combien et quels types de produits à moindre impact environnemental ont les faveurs des annonceurs et des agences ?

Cette publication a pour objectif de présenter deux méthodes innovantes en vue d’évaluer l’effet d’une campagne publicitaire ou d’un portefeuille de campagnes :

  • l’expérimentation réalisée par Entreprises pour l’Environnement de l’application de l’indice NEC (Net Environmental Contribution) à la publicité ;
  • le Havas Impact Score développé par Havas, fondé sur l’indice PIC (Pertinence, Intensité, Comportement), qui permet de mesurer l’impact des représentations projetées par une campagne (avant son lancement ou a posteriori).

Pour tester le premier outil, trois pilotes ont été conduits avec des membres d’EpE : Renault Group, BNP Paribas et le secteur automobile, en collaboration avec Havas. L’objectif de ces cas d’usage a été de comparer le score NEC des ventes réalisées sur l’année par rapport au score NEC des produits promus par les publicités. Cette comparaison a pour but de mesurer si et comment la publicité contribue à la transition des modes de consommation en promouvant un mix de produits plus durables que les ventes. Ces pilotes ont permis de conclure que la NEC peut être un indicateur « quantitatif » utile pour juger de la contribution de la publicité à une consommation plus durable.

À l’heure de la sobriété, il est urgent de faire évoluer les consommateurs. Mesurer et piloter l’effet environnemental de la publicité sur la consommation est l’un des leviers pour réussir la transition écologique. Cette étude montre que cette évolution peut être mesurée et objectivée. Elle ouvre ainsi le champ des possibles et donne des outils aux annonceurs et régies pour s’impliquer et faire bouger les lignes !

Actes du Colloque Dialogue Entreprise – Finance : solutions et actions pour la nature

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ACTES DU COLLOQUE DEFi – 27 JUIN 2022

Dialogue Entreprise – Finance
Solutions et actions pour la nature


Dans la perspective de la COP15 et dans le contexte de publication des premiers livrables de la Taskforce on Nature-related Financial Disclosures (TNFD), les associations Finance for Tomorrow et Entreprises pour l’Environnement ont organisé en 2022 le colloque DEFi « Dialogue Entreprise – Finance sur les solutions et actions pour la nature » pour ouvrir et lancer une dynamique d’échanges entre institutions financières, entreprises et parties prenantes sur leurs actions en faveur de la biodiversité.

Les objectifs de cette journée étaient multiples :

  • présenter les dernières avancées et réglementations permettant la meilleure prise en compte de la biodiversité dans les décisions de financement et d’investissement ;
  • clarifier les demandes des acteurs financiers aux entreprises sur leurs risques, impacts sur la biodiversité et dépendances aux services écosystémiques ;
  • présenter les propositions des entreprises aux acteurs financiers sur ces mêmes sujets ;
  • débattre des conditions et du format selon lequel les entreprises peuvent représenter au mieux leurs risques, impacts et dépendances susmentionnés dans les informations qu’elles communiquent au secteur financier, et dialoguer sur l’usage fait de ces informations par les acteurs de ce secteur ;
  • renforcer la dynamique et les engagements des acteurs économiques.

Le colloque a rassemblé plus de 200 experts – dont plus de 65 intervenants et animateurs – issus d’entreprises industrielles, du secteur financier, du conseil et des services, des pouvoirs publics, de grandes écoles, d’ONG et d’institutions scientifiques.

Ces échanges et de débats de fond ont permis d’étudier plusieurs thématiques complexes, de renforcer les engagements, et ont rappelé le besoin de multiplier les collaborations et les actions en faveur de la biodiversité et du climat sans attendre la mise en place d’indicateurs, d’outils et de méthodes consensuels.

 

Le numérique, allié ou ennemi de la transition écologique ?

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68 pages – Disponible en anglais

En quelques années, la transformation numérique a profondément bouleversé nos modes de vie et le fonctionnement de nos sociétés. Résultant de rythmes d’innovation rapides, ces technologies redéfinissent continuellement nos notions de temps et d’espace et modifient profondément nos façons d’accéder à la connaissance, à l’information et à la consom­mation ; elles transforment nos modes de vie et conditionnent le fonctionnement de nos sociétés dont celui des acteurs économiques.

Bien qu’elles présentent d’importantes opportunités pour les entreprises et que, utilisées à bon escient, elles peuvent contribuer à la préservation de l’environnement et au bien-être des populations, les technologies numériques sont surtout à l’origine de répercussions considérables sur l’environnement. La tendance à l’augmentation du nombre d’utilisateurs, du nombre d’équipements, et à l’intensification des usages du numérique va conduire à une forte augmentation de ses impacts sur l’environnement si rien n’est fait pour les limiter : l’empreinte carbone du numérique français pourrait ainsi augmenter de 60 % d’ici à 2040. Au-delà, des tensions d’approvisionnement en minerais et métaux menacent déjà le développement du secteur.

L’enjeu nouveau pour les entreprises est donc de poursuivre leur transformation numérique tout en réduisant cette empreinte environnementale. Depuis 2020, près de quarante grandes entreprises membres d’EpE dialoguent entre elles et avec leurs parties prenantes autour des liens entre numérique et environnement au sein d’une commission présidée par Gilles Vermot-Desroches, Directeur de la Citoyenneté de Schneider Electric. Des dirigeants et experts rattachés aux Directions du Développement Durable et des Systèmes d’Information y ont partagé les bonnes pratiques de leurs entreprises et ont analysé les conditions pour réduire l’empreinte environnementale du numérique (volet « Green IT ») et en tirer parti pour accélérer leur transition écologique et celle de la société (volet « IT for Green »).

Cette publication présente une synthèse de ces travaux et analyse des cas réels de stratégies et des pratiques de réduction de l’impact du numérique, de mesure de son empreinte environnementale et de ses usages par les entreprises pour accélérer la transition écologique.

Entreprises et neutralité carbone : une transformation collective – Mai 2022

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88 pages – Disponible en anglais

 

Fin 2015, l’Accord de Paris entérinait l’objectif de « parvenir à un équilibre entre les émissions anthropiques par les sources et les absorptions anthropiques par les puits de gaz à effet de serre au cours de la deuxième moitié du siècle, sur la base de l’équité, et dans le contexte du développement durable et de la lutte contre la pauvreté ».

Depuis lors, la neutralité carbone s’est imposée comme l’objectif majeur à atteindre pour maîtriser les changements climatiques en cours et préserver les sociétés humaines de ses effets, et a été repris par de nombreux pays, organisations et entreprises. Pour ces dernières, la transition vers la neutralité carbone implique des questionnements et des transformations majeures.

Au cours des dernières années, les membres d’EpE réunis au sein de la Commission Changement climatique ont travaillé dans leurs entreprises pour bâtir leurs stratégies individuelles de décarbonation. Cette publication formalise ainsi les interrogations soulevées, vise à donner des pistes de solutions, souvent évolutives, et des retours d’expériences de mise en place de stratégie climat par les entreprises : comment agir à son échelle ? Seul ou avec qui et comment ? À quelles difficultés s’attendre et comment les surmonter ?

Cet ouvrage s’adresse aux entreprises qui souhaitent lancer ou accélérer leur démarche vers la neutralité carbone ainsi qu’à leurs parties prenantes de toutes sortes, elles-mêmes concernées, et voulant agir sur les aspects et difficultés systémiques de cette transition.

Indicateurs de transition circulaire V2.0 – février 2022

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74 pages - Disponible en anglais

Alors que l’économie circulaire prend de l’ampleur, il est impératif que les entreprises préparent leur transition en se basant sur l’observation de leur performance circulaire et des risques et opportunités qui y sont associés. Pour ce faire, les entreprises ont besoin d’un outil universel et cohérent pour évaluer leur circularité.

Selon le Circularity Gap Report, l’économie mondiale n’est circulaire qu’à 8,6 % aujourd’hui. Les Indicateurs de Transition Circulaire (CTI), élaborés par 30 entreprises membres du WBCSD en collaboration avec le cabinet KPMG, aident à répondre à des questions telles que :

  • Quel est le degré de circularité de mon entreprise ?
  • Comment fixer ses objectifs en matière d’économie circulaire ?
  • Comment mesurer les progrès résultant de mes activités circulaires ?

La publication « Les indicateurs de l’économie circulaire pour les entreprises » d’EpE et de l’INEC (octobre 2018) soulignait le manque d’indicateurs « clés en main » pour mesurer l’économie circulaire à l’échelle des entreprises. Cette deuxième version de la méthodologie « Indicateurs de Transition Circulaire » fournit des éléments de réponse en apportant un cadre commun de travail et un support de compréhension partagée qui se veulent exhaustifs, flexibles et applicables à tous les secteurs, en décrivant notamment des indicateurs de circularité des revenus d’une entreprise, de son utilisation d’eau ou de matériaux critiques.

Représentations des modes de vie et transition écologique

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32 pages – novembre 2021

Disponible en anglais

L’étude ZEN 2050 réalisée par les entreprises membres d’EpE a mis en évidence que la France pouvait atteindre la neutralité carbone dès 2050 à condition que tous les acteurs, entreprises, pouvoirs publics et citoyens-consommateurs, se mobilisent massivement pour une transformation sans précédent de nos modes de vie et de consommation. L’ambition simultanée de préserver la biodiversité renforce encore ce besoin de transformation.

Chaque personne poursuit ou adopte un mode de vie qui lui est propre, influencée par le contexte dans lequel elle évolue. Les communications commerciales véhiculent des représentations, par et au-delà de la promotion de biens et de services. Les entreprises et en particulier les annonceurs et toute la filière de la publicité ont donc un rôle clé à jouer dans ce qui pourrait être une révolution de l’imaginaire. Plusieurs membres d’EpE se sont déjà engagés dans cette voie et leurs pratiques nourrissent ce guide.

Agir sur ces représentations est une des voies pour réussir la transformation écologique de notre société et de notre économie. L’énergie et le talent créatif de l’ensemble de la filière (marques, agences et médias), mis au service de la représentation et de la promotion d’une nouvelle société de consommation respectueuse de l’environnement et de nouvelles normes éthiques, peuvent donc jouer un rôle moteur dans la transition de nos modes de vie, à travers trois démarches :

  • identifier les effets positifs et négatifs sur l’environnement des modes de vie projetés par les communications commerciales ;
  • promouvoir et rendre désirables des modes de vie favorables à la transition écologique ;
  • éviter de généraliser des représentations de modes de vie qui ne sont pas favorables à la transition écologique.

Le guide est organisé selon les principes suivants :

  • mettre en lumière 10 stéréotypes parfois présents dans la publicité, ancrés dans notre inconscient, tantôt bénéfiques, tantôt dommageables pour la planète, pour contribuer à l’évolution de nos habitudes et faire émerger de nouveaux modes de vie ;
  • ces représentations correspondent à des thèmes courants afin de pouvoir s’appuyer sur des référentiels existants : se nourrir, se déplacer, se loger, voyager et se divertir, représentation du bonheur et d’une vie réussie, rapport au temps et rapport à la nature. Ces thèmes renvoient aux secteurs majeurs d’impacts environnementaux (gaz à effet de serre et biodiversité) ;
  • le guide fait des propositions pour rendre désirables les comportements et modes de vie écoresponsables, et les illustre par des bonnes pratiques.