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PUBLICATIONS & RAPPORTS

Actions Climat des Entreprises – Pratiques de réduction des émissions de gaz à effet de serre des entreprises membres d'EpE – novembre 2012

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Disponible en anglais

Le recueil “Actions Climat des Entreprises” rassemble une centaine de pratiques de réduction d’émissions de gaz à de serre (GES) d’une quarantaine de membres EpE. Il témoigne de l’engagement et de la maturité des entreprises membres d’EpE sur ce sujet et a pour vocation d’inspirer et mobiliser toutes les entreprises sensibilisées par la lutte contre le changement climatique dans leurs démarches actives de réduction des émissions de GES.

Conscientes du rôle important qu’elles ont à jouer dans l’effort mondial pour réduire les émissions de GES, les entreprises membres d’EpE ont compris l’intérêt d’anticiper les évolutions possibles de la gouvernance du climat. Leurs dirigeants se sont engagés dans des réflexions stratégiques, l’élaboration de démarcheset la mise en place de projets tout au long de la chaîne de valeur pour réduire leurs émissions. Aujourd’hui, elles sont déterminées à accélérer la transition en déployant largement les méthodes ainsi mises au point, chez elles et chez leurs partenaires. Elles mobilisent largement leurs équipes opérationnelles pour cela.

Trois leviers de progrès majeurs apparaissent :

  • l’efficacité énergétique : les innovations techniques améliorent le rendement des moyens de production, des modes de transport ou de l’utilisation d’un produit, diminuant ainsi les émissions associées.
  • de nouveaux modes d’organisation, de gestion et de comportement : approches coopératives, certificats d’économie d’énergie, gestion des pointes électriques ou éco-conduite en sont des exemples.
  • les ruptures technologiques : les entreprises, soucieuses de se positionner dans une compétition mondiale, s’y engagent en anticipation de l’émergence des marchés correspondants.

WBCSD – Donner un prix au carbone – Le prix du carbone, outil de la politique de changement climatique – traduction de la version anglaise "Carbon pricing" – 2011

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Disponible en anglais

Cette plaquette, Donner un prix au carbone : Le prix du carbone, outil de la politique de changement climatique, publiée par le WBCSD a été traduite en français par EpE. Elle explique la rationalité économique qui sous-tend l’établissement d’un prix des émissions de gaz à effet de serre, au premier rang desquels le gaz carbonique. Selon la théorie économique, le prix des biens et services doit tenir compte de l’ensemble de leurs coûts et avantages, à la fois économiques, sociaux et environnementaux. Dans le cas d’un prix du carbone, il s’agit d’une valeur qui reflète une externalité négative, l’impact qu’ont sur l’environnement les émissions de CO2 engendrées par un produit ou une activité. Ce prix peut être implicite ou explicite, et être appliqué de différentes manières. La plaquette définit ce qu’est un prix carbone, ce qu’il peut apporter, ses aspects économiques et comment il peut être introduit dans l’économie.

Mettre en oeuvre et faire vivre l'efficacité énergétique dans les bureaux – septembre 2010

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Conscients de l’enjeu de l’efficacité énergétique des bâtiments, et de leurs propres bureaux, dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre, vingt-deux membres d’EpE ont formé depuis 2006 un groupe de travail présidé par Christian Caye, Responsable du Développement Durable du Groupe VINCI. Ce groupe a d’abord lancé la réalisation, via une enquête, d’un état des lieux des pratiques des membres sur la gestion énergétique et climatique de leurs bâtiments tertiaires, qui a montré l’ampleur du chantier à lancer pour parvenir à des progrès notables.

Les bonnes pratiques se sont depuis intensifiées chez tous, le Grenelle de l’Environnement a posé en 2007 des jalons importants et l’innovation a ouvert de nouveaux champs d’action. De nombreux membres d’EpE ont avancé, conduit des opérations pilotes ou exemplaires, puis mis en commun leurs expériences en la matière et identifié les pistes de progrès, les difficultés rencontrées, les façons de les surmonter.

Cette brochure est issue des travaux de ce groupe au cours des années 2008 à 2010, qui ont fait appel aux compétences des membres mais aussi à des expertises externes. A travers leurs bonnes pratiques et leurs réflexions, l’étude permet ainsi, au-delà d’un état des lieux, de lister un certain nombre d’actions efficaces à mettre en œuvre pour des bureaux neufs mais aussi pour les bâtiments existants tout en questionnant la rentabilité des modèles économiques associés.

Mesurer et piloter ses émissions de gaz à effet de serre – mai 2011

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Mesurer et piloter ses émissions de gaz à effet de serre – mai 2011

Conscientes que la modération du réchauffement climatique passe par la réduction des émissions de gaz à effet de serre, les entreprises ont travaillé en profondeur à mieux connaitre leurs émissions pour pouvoir les réduire. EpE et ses membres ont collaboré en ce sens depuis plus de dix ans. La Commission Changement Climatique présidée par Hervé Bourrier, Directeur général d’ArcelorMittal France, auxquels la quasi-totalité des membres d’EpE ont participé et dont les travaux se sont focalisés sur l’enjeu de la mesure et du pilotage, s’inscrit dans cette démarche.

Au moment où le reporting des émissions devient obligatoire pour de très nombreuses entreprises françaises, il nous a paru utile de rassembler cette expérience accumulée par les membres d’EpE depuis plusieurs années dans une synthèse permettant de faire comprendre le lien entre ces mesures et les réductions qui seront engagées, et d’aider chacun à définir ses priorités d’action pour obtenir les réductions nécessaires au moindre coût, voire en y trouvant de nouvelles occasions de développement.
L’objectif de la présente plaquette est de mettre cette expérience au service du plus grand nombre d’entreprises qui vont maintenant se lancer dans la mesure et le pilotage de leurs émissions.

Quelles sont les raisons pour lesquelles les entreprises ont intérêt à mesurer leurs émissions de gaz à effet de serre ? Quelles sont les principales méthodologies applicables selon que l’on souhaite mesurer les émissions d’une organisation et de sa sphère d’influence, d’un produit sur une partie plus ou moins longue de son cycle de vie, ou encore des conséquences d’une décision ? Cette brochure vise à répondre à ces questions et met en avant les principales leçons que les membres EpE ont tiré de ces dix années d’expériences.

WBCSD – MANIFESTO for Energy Efficiency in Buildings – 2010

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Le bâtiment consomme près de 40% de l’énergie mondiale. Si l’on inclut l’énergie consommée pendant la phase de construction des bâtiments, ce chiffre s’élève à 50%. Néanmoins, de nombreuses solutions pour améliorer l’efficacité énergétique existent, avec un coût sociétal plus faible et de meilleurs retours sur investissement que dans d’autres secteurs.

Le WBCSD, dont EpE est le partenaire français, propose un «Manifesto for Energy Efficiency in Buildings» (Manifeste pour l’efficacité énergétique dans les bâtiments) appelant les entreprises à un engagement volontaire sur leurs propres locaux. En signant ce Manifeste, les entreprises passent de la parole aux actes. Elles s’engagent sur cinq actions :

  1. En trois ans, définir un périmètre, créer une base de référence et fixer des objectifs de réduction et des échéances pour la politique d’EEB; ces objectifs devraient être au moins de 10% à 20% par décade;
  2. Publier une politique d’entreprise fixant des niveaux de performance énergétiques minimaux pour ces bureaux ;
  3. Définir et déployer un programme d’audit et une stratégie de mise en œuvre pour atteindre les objectifs fixés ;
  4. Publier annuellement la consommation d’énergie et les progrès réalisés, par exemple dans le rapport RSE ;
  5. Promouvoir davantage l’EEB auprès des employés, fournisseurs et autres parties prenantes, par tous moyens: formation, R&D, marketing et promotion. En signant ces engagements, les entreprises envoient un message fort au marché, à leurs parties prenantes et leurs employés.

Les entreprises françaises suivantes ont signé le Manifeste :

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La liste de toutes les entreprises mondiales signataires du manifeste est disponible sur le site du WBCSD à l’adresse suivante :
http://www.wbcsd.org/templates/TemplateWBCSD5/layout.asp?type=p&MenuId=MTcyMQ&doOpen=1&ClickMenu=LeftMenu

Bâtiments tertiaires des entreprises : quelle gestion énergétique et climatique ? – janvier 2008

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Les entreprises disposent en général d’un stock important de bâtiments tertiaires et se posent de plus en plus la question de savoir comment optimiser les performances énergétiques de leur parc.

Les entreprises adhérentes d’EpE montrent un intérêt tout particulier aux questions environnementales et de développement durable et s’efforcent d’être pionnières dans leurs pratiques. Elles ont ainsi décidé, avec le soutien de l’Ademe, de travailler ensemble sur ce sujet pour dégager les bonnes pratiques, mais aussi les freins au progrès et les conditions de succès d’une démarche de réduction des émissions et des consommations énergétiques.

Cette publication repose sur une enquête conduite auprès les entreprises d’EpE sur la gestion de l’énergie dans leurs bâtiments tertiaires, sur les outils techniques et financiers utilisés, sur les indicateurs pertinents pouvant constituer un référentiel de synthèse pour la gestion durable de l’immobilier tertiaire.

A travers les bonnes pratiques et les réflexions des gestionnaires de bâtiments, l’étude permet ainsi, au-delà d’un état des lieux, de hiérarchiser les actions simples et rentables à mettre en oeuvre au sein des entreprises et d’identifier les principales conditions de succès d’une telle démarche.

Vingt-six entreprises membres d’EpE ont contribué à l’étude. Le périmètre de l’étude a été limité aux bâtiments situés en France. Les bâtiments tertiaires étudiés ont été en grande majorité des bâtiments administratifs, y compris les parties dédiées à des activités annexes (restaurant d’entreprise, atelier, laboratoire, centre de santé…).

Les Plans de Déplacements d'Entreprise – avril 2008

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Des Plans de Déplacement d’Entreprise, pourquoi faire ?

L’urgence climatique impose d’explorer toutes les pistes de réduction de nos émissions. Le transport, qui représente plus du quart des émissions nationales, est un secteur particulier, en ce que les décisions qui conduisent à ces émissions sont extrêmement diffuses : chaque personne choisit, parfois plusieurs fois par jour, quel transport elle utilise pour ses déplacements. Comment influencer ces décisions pour les rendre moins émettrices, tout en préservant la liberté de choix du lieu de résidence et la flexibilité nécessaire à la vie économique ?

Une idée assez naturelle est de travailler sur les grands flux de déplacements, comme les déplacements domicile-travail : qui n’a rêvé, pris dans un embouteillage, d’un mode de transport ou d’un aménagement du territoire différents lui évitant ce sentiment d’être prisonnier d’une situation absurde et polluante ?

Percevant l’urgence climatique, incitées par des opportunités comme le déplacement d’un site important, ou pressentant l’imminence de la contrainte réglementaire, plusieurs entreprises membres d’EpE se sont déjà lancées dans des Plans de Déplacement d’Entreprise (PDE). A l’heure où la loi LAURE va obliger certaines entreprises à élaborer un PDE, et après le Grenelle de l’Environnement qui a sensibilisé non seulement les Ressources Humaines mais les salariés eux-mêmes, le terrain est favorable à aller plus loin et plus vite dans cette direction. C’est pourquoi il nous a semblé utile de faire partager ces premières expériences.

Trois points ressortent de ce document.

  • Tout d’abord, un PDE ne réussit dans le long terme que si les alternatives à la voiture individuelle offertes aux salariés sont moins coûteuses, et surtout d’emploi plus facile.
  • Ensuite, un PDE est un projet complexe dont le succès repose sur la mobilisation de nombreux acteurs et leur capacité à coopérer : salariés, collectivités locales, sociétés de transport, syndicats, associations, entreprises.
  • Enfin, les émissions économisées sont, même en cas de succès, assez limitées : les déplacements évités sont courts et concernent les seuls salariés habitant dans des quartiers denses ou voisins du site. Le coût par tonne de CO2 évitée peut s’avérer significatif.

Au total, nous espérons que ces expériences permettront aux acteurs de sélectionner les opérations les plus susceptibles de réussite. Nous souhaitons aussi que notre travail contribue à une réflexion plus globale sur nos structures urbaines et nos modes de vie, afin de privilégier leur conception durable à la mise en place a posteriori de solutions palliatives qui ne pourront qu’être des corrections généralement partielles et le plus souvent coûteuses.

Jean-Yves GILET, Président d’EpE

Etude FONDDRI (EpE – IDDRI) Scénarios sous contrainte carbone – Variante CCS retardé – 2008

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Ce scénario (D) est une variante du scénario 450 ppm V CO2 Non-mimétique. Un retard d’une dizaine d’années a été introduit dans la mise en oeuvre du CCS (Capture et stockage du CO2).

Etude FONDDRI (EpE – IDDRI) Scénarios sous contrainte carbone – Variante PVD retardés – 2008

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Ce scénario (E) est une variante du scénario 450 ppm V CO2 Non-mimétique. Un retard de cinq ans (2017 à 2022) a été introduit dans le décollage de la contrainte carbone dans les pays en développement.

Etude FONDDRI (EpE-Iddri) "Scénarios de transition vers un monde économe en carbone en 2050 : quels enjeux pour l’industrie ?" Résultats: résumé et rapport complet – 2008-2009

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Disponible en anglais

Lancée en 2004, l’étude a exploré quels pouvaient être les impacts sur les grands secteurs industriels d’ici 2050 d’une contrainte carbone permettant de suivre une trajectoire de stabilisation de la concentration atmosphérique de CO2 à 450 ppm. Grâce à une plateforme de modélisation hybride innovante, et à un dialogue itératif entre chercheurs et industriels, l’étude délivre un ensemble de résultats concernant tant les politiques climatiques en général que la réponse économique des secteurs industriels – en particulier la sidérurgie, la production d’aluminium, de ciment et de verre plat, ainsi que le secteur de l’énergie.

L’étude a été réalisée dans le cadre de la Fondation pour le Développement durable et les relations internationales (Fonddri) Elle a bénéficié du soutien financier d’ArcelorMittal, Caisse des Dépôts, EdF, GdF-Suez, Lafarge, Saint-Gobain, SNCF, Total, Veolia Environnement, et EpE. Le Comité de Pilotage de cette étude associait EpE, l’Iddri, ArcelorMittal, Caisse des Dépôts, EdF, GdF-Suez, Lafarge, Saint-Gobain, SNCF, Total et Veolia Environnement.

Il était animé par Patrick Nollet et Richard Baron. Contacts : Patrick Nollet, pnollet@epe-asso.org et Séverin Fischer sfischer@epe-asso.org
Les travaux ont été réalisés par : CIRED, LEPII, ENERDATA.

N.B. : Dans le fichier ZIP ci-dessous, résumé et rapport complet